1. L’énergie, c’est l’aventure en 15 images
en pleine mer, site de en zone polaire, parc solaire au cœur du désert : capter l’énergie est une aventure, vécue en équipe. Une aventure humaine.
2. Sur les plateformes
Le forage et l’exploitation en mer imposent plusieurs semaines de travail en continu, suivies de périodes équivalentes de repos sur la terre ferme. Le travail en équipe est permanent, la vie en collectivité inévitable, comme l’est le respect draconien des règles de sécurité. Pas d’alcool, pas de tabac. Mais des salaires en relation avec les efforts fournis. Ici, la plateforme gazière de Mahakam (Indonésie).
3. Des femmes égales des hommes
Malgré la rudesse du travail, les femmes ont leur place sur les plateformes pétrolières. Quelques unes occupent la fonction de « capitaine », s’imposant à des équipes majoritairement masculines. Ici, une FOP (field operation assistant) coréenne sur le champ d’Ofon au Nigeria.
4. Le travail dans les zones polaires…
Affronter le froid et les conditions extrêmes fait partie du travail des techniciens sur les zones d’exploitation du grand Nord. Ici, la pose d’un pipeline calorifugé sur le champ de Kharyaga, en Russie, à 60 km au-delà du cercle polaire. Sur cette terre vierge, ne vivent que les nomades du peuple nénètse et les travailleurs des compagnies pétrolières internationales.
5. …et dans les sables du désert
Autour de la de Jubail, en Arabie Saoudite, les dunes rendues aussi blanches que la neige par le soleil éblouissant, s’étendent à perte de vue. Lors des pics d’activité, 45 000 ouvriers, de 43 nationalités différentes, travaillent là. Une vraie tour de Babel. Une ville moyenne où les habitants travaillent, se nourrissent et logent sur place.
6. Les géologues sur le terrain
La recherche des gisements commence par le travail des géologues. Ils évaluent la configuration générale des terrains, avant que ne commencent les opérations très techniques de la recherche sismique et de l’analyse des images en 3D du sous-sol. Ici, une géologue du groupe Total dans les savanes de l’Ouganda…
7. À bord des grands méthaniers
Non, ils ne chargent pas un canon… ils travaillent sur le Arwa Spirit qui assure le transport du à – 162 °C, depuis sa zone de production au Yémen jusqu’à une usine de regazéification au Japon. Le bâtiment mesure 285 mètres de long sur 43 de large.
8. La sécurité, un enjeu majeur
Sur tous les sites énergétiques, et notamment ceux traitant le pétrole et le gaz, la sécurité est une préoccupation permanente. Des équipes d’ingénieurs et de pompiers spécialisées dans la gestion des accidents sont présentes sur les sites. Ici, sur la raffinerie de Donges, près de Nantes (France), un exercice de formation « en tortue » pour approcher une vanne supposée être en feu.
9. Solaire : une myriade de métiers
Des millions d’entreprises, grandes et petites, industrielles ou artisanales, se sont constituées de par le monde pour produire, assembler, poser des panneaux photovoltaïques et assurer leur maintenance, aussi bien dans les immenses parcs solaires ou sur les toits et les terrasses des maisons particulières. On estime à 1,5 million le nombre d’emplois directs et indirects de la filière dans le monde en 2014, avec des taux de progression annuels à deux chiffres.
10. La révolution de la lampe solaire
Un tout petit engin – une lampe, un panneau solaire, une batterie – a changé le visage de l’assistance aux régions rurales pauvres en leur apportant une production électrique, certes limitée mais autonome. Ici, un jeune responsable du programme solaire Awango, lancé par le groupe Total, fait une démonstration sur le marché du village de Kanbauk, au Myanmar (Birmanie).
11. Les designers face au panneau solaire…
Les architectes et designers ne peuvent plus ignorer le , devenu une partie constitutive de l’architecture, voire un élément de design et de décoration. Des essais sont même menés pour produire des panneaux de diverses couleurs, et non plus seulement bleus ou noirs…
12. Des interventions à plus de 100 mètres de haut
La maintenance des éoliennes est maintenant une technique bien maîtrisée. Les techniciens s’accrochent sur les pales ou sur le rotor, à 150 mètres de haut pour les plus grands engins. La maintenance des éoliennes présente la difficulté supplémentaire de la par les vents et les embruns chargés de sel.
13. Un travail souvent par gros temps
Le travail sur les grands réseaux électriques suppose une grande technicité et du matériel sophistiqué (grues, hélicoptères…), notamment dans les zones montagneuses ou difficiles d’accès. Nécessaire en permanence, il devient urgent et dangereux dans les périodes de tempêtes ou de catastrophes naturelles, comme les tremblements de terre.
14. Les énergies marines en plein essor
Les interventions sous-marines sont de plus en plus souvent fréquentes, avec l’éolien offshore, la pose des conduites sous l’eau et maintenant l’essor continu des énergies marines. La force des marées, des vagues, des courants, la différence de température entre les différentes profondeurs, l’ , sont autant de domaines de recherche très spécialisés qui visent à utiliser le potentiel sans limite des océans.
15. Travailler dans une centrale nucléaire
Cette image est en fait trompeuse ! Les travailleurs du nucléaire ne portent de telles tenues que lors d’opérations très spécifiques, dans le bâtiment réacteur des centrales. Ailleurs, ils portent leurs vêtements habituels ou seulement des combinaisons légères sans casque… Ici, il s’agit d’une opération de rechargement de dans le cœur du réacteur Angra II, à 200 km au sud de Rio de Janeiro, au Brésil.